LE COLLECTIF VAN [VIGILANCE ARMÉNIENNE CONTRE LE NÉGATIONNISME] LUTTE CONTRE LA NÉGATION DE TOUS LES GÉNOCIDES ET PARTICULIÈREMENT CELUI VISANT LE GÉNOCIDE ARMÉNIEN DE 1915 PERPÉTRÉ PAR LE GOUVERNEMENT JEUNE-TURC DANS L'EMPIRE OTTOMAN. PLUS D'INFOS SUR FACEBOOK.COM/COLLECTIF.VAN ET LE FIL TWITTER @COLLECTIF_VAN - BP 20083 - 92133 ISSY-LES-MOULINEAUX.

dimanche, septembre 29, 2013

Istanbul : concert historique au séminaire grec de Halki

Info Collectif VAN - www.collectifvan.org - Turquie : le 22 septembre, le séminaire grec orthodoxe de Halki a symboliquement ouvert ses portes pour un concert historique sur l’île de Heybeliada, près d’Istanbul. Le concert intitulé « Un voyage culturel de Grèce en Turquie », au cours duquel des musiciens venant de Grèce et de Turquie ont joué pour la paix et l’amitié, marque un premier tournant pour le séminaire de Halki, car l’école est fermée depuis 1971. Le Collectif VAN vous propose la traduction d’un article en anglais, paru sur le site du journal turc Hürriyet Daily News le 25 septembre 2013.

Légende photo : D’éminents responsables de la communauté grecque orthodoxe sont venus écouter les musiciens grecs et turcs au Séminaire grec orthodoxe Halki. Photo Emrah GÜREL

Des musiciens grecs et turcs font un concert historique à Halki

ISTANBUL – Hürriyet Daily News

Mercredi 25 septembre 2013

Vercihan Ziflioğlu
vercihan.ziflioglu@hurriyet.com.tr

Le séminaire grec orthodoxe de Halki s’est transformé en scène pour des musiciens grecs et turcs, alors que les attentes concernant l’ouverture de l’école augmentent, dans le cadre du programme de démocratisation tant attendu.

Le 22 septembre, le séminaire grec orthodoxe de Halki a symboliquement ouvert ses portes pour un concert historique sur l’île de Heybeliada, près d’Istanbul.

Le concert intitulé « Un voyage culturel de Grèce en Turquie », au cours duquel des musiciens venant de Grèce et de Turquie ont joué pour la paix et l’amitié, marque un premier tournant pour le séminaire de Halki, car l’école est fermée depuis 1971.

Le professeur Elpidophoros Lambriniadis, archiprêtre du séminaire de Halki et Métropolite de Bursa, a déclaré au Hürriyet Daily News qu’il espérait que cette célébration soit une pré-célébration de la réouverture de l’école.


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Istanbul : concert historique au séminaire grec de Halki 

mardi, septembre 10, 2013

Génocide arménien : les Kurdes cherchent à obtenir le pardon

Info Collectif VAN - www.collectifvan.org - « En tant que Kurdes, nous portons aussi la responsabilité des souffrances des Arméniens », a déclaré Abdullah Demirbas,maire d’un vieux quartier de la villede Diyarbakir,élu sous l’étiquette du parti pro-kurde de Turquie, le Parti pour la paix et la démocratie (BDP). « Nous sommes désolés, et nous devons le prouver. » La première mesure prise par Demirbas a été d’initier des cours gratuits de langue arménienne il y a deux ans. « Ilsont immédiatement eu un franc succès », a dit Demirbas. On pense qu’un grand nombre de personnes inscrites sont des « Arméniens cachés » ou les descendants de ceux qui se sont convertis à l’islam pour survivre. » Le Collectif VAN vous propose la traduction d’un article en anglais, paru sur le site Al-Monitor le 3 septembre 2013. On aurait souhaité que l’auteur, la journaliste turqueAmberinZaman, soit moins timorée en matière de désignation du Crime. Elle n’utilise le terme de génocide que pour relayer l’opinion d’individus, d’historiens, ou de nations. Mais sous sa plume d’auteur, seuls fleurissent les mots « massacres », « tragédie »,« horreurs », « événements »… Et si elle souligne que « Les chiffres d’estimation varient, mais entre 800 000 et un million d’Arméniens ont été massacrés », elle se garde bien de préciser que le chiffre le plus communément admis est celui d’1,5 million de victimes. Dommage.

Al-Monitor

Posté le3 septembre

Par Amberin Zaman


Les Kurdes de la Turquie cherchent à obtenir le pardon pour la tragédie arménienne de 1915


« La population arménienne est en train de fondre. »

Cette déclaration pessimiste a été prononcée par Sahak Mashalyan, un prêtre arménien orthodoxe[1], lors d’une récente messe du dimanche en l’église Asdvadzadzin à Istanbul. Il a donné les statistiques : 482 enterrements, 236 baptêmes et 191 mariages, et l’homme d’église en robe noire a solennellement déclaré : « ces chiffres montrent une communauté… en train de mourir. »

Il y a un petit peu plus d’un siècle, le patriarcat arménien estimait la population arménienne d’Anatolie a plus de deux millions. En 1915, la tragédie a frappé. Les chiffres d’estimation varient, mais entre 800 000 etun million d’Arméniens ont été massacrés par les forces ottomanes et leurs alliés kurdes, au cours de ce que de nombreux historiens respectés qualifient de premier génocide du 20e siècle. La Turquie nie avec véhémence toute intention génocidaire. La ligne officielle est que la plupart des Arméniens sont morts de faim et de maladie, quand ils ont été déportés de force dans les déserts de Syrie,au cours du bouleversement provoqué par l’effondrement de l’Empire ottoman.

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Génocide arménien : les Kurdes cherchent à obtenir le pardon